Recit

Voici quelques recits d une amie tres chère dans mon coeur encore merci a toi la puce...
Le rêve a un prix

Dans cet appartement, d’habitude toujours plein et bruyant, pas un bruit. Deux jeunes personnes mais pas dans la même pièce.
Lui, grand, jeune, beau, il semble lire des feuilles de cours. Il est bien concentré dans son travail et ses yeux bruns parcourent avec rapidité les feuilles, soulignant tantôt quelques phrases qu’il trouve importantes, du bout de son crayon. Ses cheveux noirs, bien brossés. suivent les mouvements de sa tête. Mais voilà bien plus de dix minutes qu’il ne semblait plus totalement concentré sur ce qu’il faisait. Il s’arrêtait de temps en temps, tentant de retrouver un bruit qui devrait être, mais rien. Le silence le plus totale.
Il se leva doucement, il ne voulait pas enfreindre ce silence si relaxant. Non, il avait un autre but en se dirigeant sans bruit vers la chambre voisine de laquelle il travaillait il y a quelques secondes à peine.
Elle était là, assise sur sa chaise, lui tournant le dos. Ses mains ne tapaient pas sur l’ordinateur comme elle devrait le faire et son regard n’était pas posé sur les livres qu’elle devrait, pourtant regarder. Non, il ne voyait même pas ses longs cheveux blonds bouger dans son dos, c’est à peine si ils se soulevaient sous sa respiration. Elle fixait la fenêtre avec ses yeux bruns verts pétillants. Elle était en train de rêver et ne l’avait, pas du tout entendu. C’est pourquoi elle sursauta doucement lorsqu’elle entendit sa voix tonner:
-Je peux savoir ce que tu fais?
Il avait rompu ce doux silence et son rêve et elle se tourna vers lui le regardant presque avec fureur.
-J’observais le petit oisillon sur ma fenêtre.
Il eut un rire amère puis, sans ajouter un mot, il se contenta d’ouvrir un dossier sur son ordinateur. Une certaine liste où était inscrit trois en-têtes: Bêtise, Punition et Instrument. Elle soupira, referma le dossier, pris un des livres et commença à écrire sur l’ordinateur.
Lui, il sourit doucement, l’embrassa sur le haut du crâne puis repartit à son travail, non sans l’avertir que la prochaine fois, il n’ouvrirait pas le dossier mais agirait. Après tout, c’était plutôt rare qu’il n’y ait personne mais ses bêtises à elle n’étaient moins que pas rares. En guise de simple réponse, elle se retourna vers lui et lui tira rapidement la langue avant de recommencer à taper son travail sur son ordinateur.
Il retourna à son propre travail se concentrant à nouveau, non sans s’amuser et s’énerver de l’attitude de sa copine. Elle voulait faire des études dans le domaine des soins mais manquait cruellement de motivation et était un peu trop flemmarde quand il s’agissait de ses cours. Il ne comptait plus le nombre de cours qu’elle avait déjà séchés cette année. En réalité, il se demandait parfois si elle avait vraiment envie de faire la carrière à laquelle elle se prédestinait. En réalité, oui, elle voulait vraiment faire cette carrière mais elle aurait aimé ne pas devoir se prendre la tête avec les quantités extrvagantes de cours et de devoirs à faire chez elle.
Elle n’aimait ne pas être active, elle devait toujours bouger, elle était toujours stressée et ne pouvait vraiment rester en place sans faire quelque chose. En règle général soit une de ses jambes, de ses mains ou même les quatre éléments ensemble, devaient bouger.
Elle n’avait même pas mis plus de deux minutes sur son travail avant de retourner la tête vers le petit oisillon sur le bord de sa fenêtre. Elle se demandait s’il s’agissait d’un mâle ou d’une femelle et elle décida que ça serait le second de ses choix, une petite demoiselle oisillon. Elle fut contente de son choix et observa avec attention les allées et venues qu’elle faisait sur le rebord. Ce qui était étrange ce que lorsque son copain avait crié précédemment, elle était restée et avait même semblée être intéressée par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Non, là elle se faisait des idées, accordé des sentiments humains aux animaux, quelle bêtise. Mais, il n’empêche que cette jolie demoiselle aillée restait là et la charmante jeune femme à l’intérieur de la maison l’observait sans cesse.
-Cette fois ci c’est trop. Je t’avais dit quoi, juste avant?
Elle sursauta franchement là. Il fallait trouver une excuse et rapidement. Elle cherchait, quelque chose de plausible mais d’intelligent, ne pas le prendre pour un imbécile puisqu’elle pensait qu’il était intelligent. Elle se tourna doucement vers lui et le regarda avec un regard d’excuse.
-Mais, elle m’inspire cette petite oisillon. Tu vois j’ai même décidé que c’était une femelle.
-Elle t’inspire? ELLE T’INSPIRE. Voyons voir ce qu’elle t’a inspiré pour ton travail de fin d’année. Même pas une demie page… Là, tu te moques de moi. Mais je vais te dire, tout compte fait, c’est vrai, elle est très inspirante ta nouvelle amie. Et tu sais ce qu’elle m’a inspiré à moi? D’après ta tête, tu as tout compris. Debout et mains sur le bureau, tout de suite!
Elle voulut protester mais elle referma rapidement la bouche en voyant son regard sévère. Elle adorait ce regard mais, en même temps, elle le haïssait, car elle savait qu’il était totalement sérieux. Elle soupira tout de même puis elle se leva lentement, tout en fixant le petit oisillon qui la fixait à son tour., du moins elle en avait l’impression. Elle posa ses mains, à plat, sur son bureau et attendit. Elle ne le vit pas s’emparer de sa règle mais lorsque le premier coup survint elle sut qu’il l’utilisait. Le coups se répétaient en mélangeant la force et la rapidité. Elle, elle s’en moquait, elle se contentait de regarder la jeune ange animale, comme si elle était, un peu, absente de sa propre punition.

Lui, il sentait bien qu’elle ne réagissait pas. Il posa la règle à côté d’elle, sur le bureau et passa ses mains sous le pull de sa dulcinée qui ne bougeait en rien. Il la chatouilla doucement pour qu’elle sorte un peu de sa rêverie et, comme il la connaissait bien, elle remua automatiquement sous l’effet du frisson et des rires qu’il lui provoquait. Elle releva un peu plus le bassin, devinant ce qu’il voulait faire et elle sentit, automatiquement les mains de son cœur attrapé le bouton de son jeans et le défaire puis baisser sa fermeture éclaire. Elle frissonna tendrement au contact de ses mains tant désirées qui baissaient son jeans.
Il s’arrêta et observa la jeune femme, plus ou moins docile, penchée en avant. Il regarda la culotte rouge en dentelle qu’elle portait et sourit à l’idée de penser que ses fesses seraient, sans nuls doutes, de la même couleur que cette dernière dans un instant. Ces mignonnes fesses qu’il appréciait tant. Dire que, elle, elle ne les trouvait pas belles. Rien qu’à cette pensée, il eut envie de les voire sans fioritures, nues, simples comme elles l’étaient à son premier jour. Il joignit le geste à la pensée et passa ses mains sous l'élastique de la culotte.
Ses mains étaient froides et la différence de température la sortit, immédiatement, de son observation de l’oisillon sur le bord de la fenêtre qui n’avait pas changé de place malgré le bruit des coups. Elle se releva pour tenter d’embrasser l’homme qu’elle aimait tant, mais ce dernier la remit, fermement en position et finit de descendre la petite culotte.
Il remonta son pull et l’embrassa au creux des reins, qu’elle s’appliquait à bien cambrés. Elle maintenait ses mains bien à plat sur le bureau et se promit de ne pas bouger de position pour lui montrer qu’il avait beau avoir l’air de prendre les choses en mains, il n’en était rien. Elle lui démontrerait qu’elle était plus tenace que lui.

Mais lorsque le premier coup atteint le milieu de ses fesses, elle se mordit les lèvres. Son corps ne bougea pas mais elle se rendit compte que son désire de lui montrer qu’elle était plus douée que lui, et que ça ne servait à rien qu’il la punisse, devint plus faible. Sans doute allait-il relever et rabaisser cette règle jusqu’à ce qu’elle réagisse.
La main maintenant fermement la règle se levait et se baissait tel un métronome, les coups étaient réguliers mais elle ne tentait rien pour interposer et mettre fin à la punition. Peut-être observait-elle encore le petit oiseau sur le bord de la fenêtre. En effet, il était toujours là et semblait presque prendre un malin plaisir à observer cette scène. Comme s’il en était l’investigateur. Non, c’était absurde, c’était un animal et il ne pouvait éprouver des sentiments et des réactions humaines. Cette pensée l’avait fait, pratiquement, oublié que sa copine avait besoin de discipline, c’est ainsi qu’il décida d’augmenter la force des coups.
La brûlure qui mordait son arrière train était maintenant grandissante. Elle avait bien remarqué le changement de force et son corps lui le faisait ressentir. Elle n’en pouvait plus et ses genoux fléchirent. Elle tomba à genoux, une larme coulant sur sa joue. Elle avait mal, mais en même temps elle en voulait plus. Pas plus fort, plus de cette façon, mais plus. Elle releva la tête et l’observa.
Il avait bien compris ce qu’elle attendait. Ça devait être une punition, en effet, mais pas trop fort non plus. Il voulait tout de même lui montrer qu’il faisait ça pour son bien. Il la fit se relever et se remettre en position mais avec tendresse. Il déposa la règle et caressa quelques secondes ces fesses rouges et bouillantes sous sa main. Puis il releva cette dernière et la rabattit sur les fesses qui se présentaient à ses sévices.
Sa respiration devenait plus rapide et plus forte. La punition était ancrée en son corps, mais actuellement elle le désirait plus que tout. Cette main qui la battait délicieusement faisait monter en elle un désire si intense qu’elle ondulait, maintenant, sous cette fessée. Elle l’aimait et elle aimait quand il la prenait en main comme cela. C’était une des choses qui l’avait séduite en lui. Et là, il se chargeait de l’éducation ferme qu’elle n’avait jamais put avoir, puisqu’elle n’avait jamais eut de père.
Il termina la punition par des caresses. Elle pleurait maintenant, soulagée qu’il ait agit, tout ses problèmes se vidant dans ses larmes. La première fois qu’elle avait pleuré durant une fessée qu’il lui avait assénée, il avait un peu paniqué et était inquiet. Par soucis de provocation, elle ne lui avait pas tout de suite dit pourquoi elle avait pleuré. Et lorsqu’ils étaient chacun partis de leurs cotés, il l’avait harcelée de messages jusqu’à ce qu’elle lui avoue enfin qu’elle n’avait pas pleuré pour la douleur mais pour le fait que tout c’était relâché en elle. Il continua ses caresses jusqu’à ce qu’elle lui demande de sa toute petite voix qui la faisait tellement craqué:
-Fais moi l’amour.
Il rit doucement et refusa, lui expliquant qu’elle devait faire son travail avant quoique ce soit. Et si vraiment le petit oisillon sur la fenêtre l’inspirait, elle pouvait l’observer autant que bon lui semblait tant qu’elle aurait, au moins, écrit deux pages dans une demi-heure, et sans trop de fautes. Puis il la laissa là et repartit faire ses cours, tout en mettant la règle bien en évidence, pour qu’elle se souvienne ce qui pouvait lui arriver si jamais l’envie de rêver lui revenait.

Elle bougonna doucement, se releva, remit sa culotte, enleva son jeans et s’assit, avec une légère grimace, sur le bord de la fenêtre. Elle observa le petit oiseau, qui lui ne cessait de la regarder aussi, et se mit au travail.
Lorsqu’il revint, une demi-heure plus tard, il lui sourit en remarquant qu’elle avait accomplit plus des deux pages demandées. Il la fit se lever, l’embrassa doucement et la conduisit sur le lit. Juste avant qu’ils ne furent tous les deux nus, elle observa une dernière fois le petit oiseau qui partit à ce moment là. Ce qui est étrange c’est qu’elle aurait juré qu’il lui avait fait un clin d’œil.
Ils firent l’amour plusieurs fois de suite, passionnément et tendrement. Il lui caressa les fesses alors qu’elle était allongée auprès de lui. Elle le remercia, de ce qu’il avait fait. Il lui sourit, l’embrassa doucement et la laissa s’endormir la couvrant délicatement avant de retourner à ses cours.

**************************************************************A un passant.

C'est fou ce qu'on retrouve quand on 'nettoie' son ordinateur. Une histoire jamais finie. Je me suis empressée de remédier à ce problème...

A un passant

Elle, un trou a son sac, jeune inconsciente, insouciante. Elle n’a même pas vingt ans et elle avance avec un sourire des plus innocent sur le visage.

Sa journée s'est, pour le moment, déroulée comme toutes les autres. Elle marche tranquillement dans la rue qu'elle pourrait, d'ailleurs, parcourir les yeux fermes.

-Et si, et si j'essayais, pensa-t-elle soudainement avec cette lueur, lueur de jeune enfant qui se prépare à une bêtise, dans les yeux.

La lueur disparaît pour laisser place à des paupières totalement closes. Elle avance ainsi, sans tricher, jusqu'à ce qu'elle sente une main se poser sur son épaule et la retenir. Elle ouvre les yeux pour voir passer, devant elle, un énorme camion à une allure folle. Puis se tournant vers 'son sauveur' elle lui offre un regard plein de gratitudes.

-Mais, mais, mais vous voyez. Vous n'êtes pas aveugle....

-Ben je, bégaye-t-elle, je pensais que je connaissais assez bien la route....

-Vous pensiez, vous pensiez! Sale gamine.

Sa réponse a elle, ne tarde pas, suivie d’un tirage de langue.

-Et fière de l'être.

-Ah si seulement je pouvais... Mais il y a tous ces gens qui me connaissent...

Elle rit ne comprenant, enfin ne voulant comprendre, sa phrase puis le remerciera avant de prétexter un rendez-vous urgent qui doit la faire partir sur le champs.

Ils se quitteront, elle ne pensant plus jamais le revoir. Elle continuera ses journées comme chacune puis, une semaine plus tard, à la même heure, au même endroit, elle le reconnaîtra de loin. Elle hésite quelques secondes avant de se résoudre à avancer. Lorsqu'ils se croisent, leurs regards ne le font pas. Elle pense être passée incognito jusqu'à ce que la même main qu'il y a sept jour se pose à nouveau sur son épaule.

-Holà pas si vite sale gamine.

Elle se retourne pour lui faire face, mais ne prévoit pas le trou dans son sac, pourtant elle le connaît, et la règle qui vient érafler l'autre main de celui qui lui avait sauve la vie.

Ses yeux, qui paraissaient comploteurs se changent, l'espace de quelques secondes, en deux billes froides et douloureuses puis reprennent, plus intensément, leurs apparence d'avant.

-Alors cette fois, pas question d'y couper...

Il s'empare de la règle, sous le regard interrogateur de la jeune femme.

-De quoi parlez-vous? Demande-t-elle en vain.

En réalité elle connaît la réponse, elle l'a lue dans ses yeux tout comme il l'a lue dans ses yeux à elle. C'est une envie réciproque qui les envahit, mais elle ne peut, elle ne veut le montrer. Ça fait partie du jeu. Alors qu'il l'entraîne vers l'hôtel le plus proche elle fait semblant de lutter.

Il est las et fatigué de cette jeune enfant et ne tarde pas à trouver un coin tranquille ou peu de monde, pour ne pas dire personne, ne viendra intervenir dans la remontrance qu’il lui fait.

Elle tente de rétorquer, mais très vite sa propre règle vient s'abattre sur son pantalon couvrant encore ses fesses. Elle comprend qu'il n'y a pas de place aux négociations et suit ce parfait inconnu jusque dans la chambre d'hôtel.

Lui, assis sur un fauteuil, tapotant la fameuse règle dans une de ses mains. Elle, debout juste devant lui ne le regardant pas. Son sac toujours sur les épaules les mains derrière le dos, elle trouve fascinantes ses baskets qu'elle porte, pourtant, depuis plusieurs mois. A quelques centimètres de lui elle ne tarde pas à sentir la froideur du plastique la forcer à relever la tête. Elle prend, pour la première fois, le temps de le détailler. Ses cheveux noirs coiffés mais qui montrent une journée de travail qui a suffit à les décoiffer un peu. Ses yeux bleus-gris avec cette brillance calculatrice derrière des vers surmontés d’un filament doré de quelques millimètres. Son teint légèrement bronzé qui dénote d'un instant de ski qu'il s'était offert récemment. Une bouche fine et des lèvres plutôt claires qui montrent un sourire machiavélique. Ses habits, plutôt classes et annonçant qu'il travaille, sans doute, dans un bureau. Le tout enveloppé d'une prestance et d'un charisme qui en impose. Trente ans, tout au plus quarante ans, avait-elle pensé.

-Et comment se prénomme cette petite impertinente?

Elle fait semblant de ne pas comprendre à qui il parle et semble chercher quelqu’un qui se serrait glisser dans la pièce.

-En plus elle est comique… Cessez de vous moquer de moi, mademoiselle.

Il venait de hausser le ton et elle sursauta en sentant la règle effleurer le bout de ses doigts.

-Je… euh… je….

-Vous, vous, vous… Vous QUOI?

Elle ne fait plus la fière. Elle vient de rentrer dans le jeu, avec délice. A l’intérieur d’elle, se mène un combat. Elle reste tout autant impertinente, tout autant peste, mais il faut lui faire croire qu’elle est docile. Lui faire croire pour mieux « l’achever » plus tard. Elle finit par se présenter toujours bredouillant.

-Joli prénom, pour une peste de votre rang. Quant à moi c’est Philippe. Mais pour toi, ça serra Monsieur….

Elle se contente d’acquiescer pour répondre à cette phrase. Elle a rebaissé les yeux et trouve, décidément, ces chaussures des plus intéressantes. Sortie de sa léthargie, elle ne l’avait même pas vu se lever et voilà qu’il enlève son sac de ses épaules. Il agit avec une douceur et une tendresse grande, ce qui étonne la jeune fille. Après tout, il est qu’un homme, et cela la rassura pour la suite.

Il la prit par le poignet et la conduisit devant le lit. Elle ne résiste pas, pas encore. Elle marche, docilement, à coté de lui. Mais lorsqu’il tente de lui faire poser ses mains sur ce même lit, elle émet une faible, mais présente, résistance.

-Tss, tss, tss. Tu étais sage jusque là. Soit, tu te tiens tranquille, soit c’est la manière forte.

Elle ne peut empêcher un rire moqueur franchir ses lèvres et ce dernier vexe l’homme. Ni une, ni deux, elle se retrouve pliée en deux sous son bras gauche alors que le droite se soulève et s’abat sur ses fesses. Elle ne remue point. Le laisser penser qu’il a le dessus. Et ça marche.

-Bien maintenant que tu es calmée, en position.

Elle le fait, docilement. En apparence du moins. Il la laisse dans cette position après avoir baissé son pantalon. Un très, très léger rouge sous une culotte rose, rappelle les quelques claques qu’elle vient de recevoir. Lui, pendant ce temps, est assis sur un fauteuil observant, ou non, la scène qui s’offre à lui.
De temps en temps, par simple sadisme, il se lève, s’empare de la règle, et vient effleurer ce postérieur totalement offert.

Frissons, appréhension et envie un mélange détonant qui va, s’il continue, la faire vaciller car ses jambes la tiendrait plus.

-Tu sais pourquoi tu es là?

-Parce que vous êtes fou….

CLAC. La règle vient de s’abattre violemment sur ses fesses.

-Mauvaise réponse. Deuxième essai.

-Parce que vous êtes un pervers.

CLAC. Un second coup qui n’arrache pas plus un cri que le premier de la part de la jeune femme.

-Jamais deux, sans trois. Alors, j’attends.

-Parce que, parce que je suis folle.

Pas de réponse, pas de coup…. Après quelques secondes, sa voix rompt le silence.

-Folle pourquoi?

-Folle de suivre un inconnu dans une chambre d’hôtel sans avoir avertit qui…

CLAC. Plus fort cette fois, elle n’a pourtant même pas pu finir sa phrase.

-Il est vrai que tu es folle. Et pas seulement pour ça. Jamais deux sans trois ai-je dit non? Et bien deux c’est assez, trois c’est trop. Je t’ai laissé trois chances de plaider ta cause, trois chances anéanties par ton insolence.

La règle se lève et s’abat plusieurs fois. Impossible d’y couper. Elle ne bouge pas, l’aurait-elle mérité? Peut-être. Plus les coups sont rapides, plus elle frémit. De peur? Nullement, d’excitation. Un coup, plus fort que les autres la fait plier les genoux et sortir un faible gémissement.

Arrêt immédiat. Serait-il allé trop fort? Le doute, puis, comme il ne faut pas perdre la face, comme il faut donner une raison à cet arrêt brutal.

-Au coin, de suite!

Ne pas rire. La situation semble tellement comique, mais il faut respecter l’autre et ne pas rire. Elle s’y rend, la tête basse, dans le coin indiqué par « Philippe ».

-Je te laisse 5 minutes pour réfléchir à ta présence ici. Si je n’ai pas une bonne réponse tu sais ce qui se passera non?

-Oui, Monsieur.

-Et mains sur la tête!.

Elle fait semblant de bougonner. Il semblerait qu’il soit sourd, ou indulgent car il ne réagit pas à cette provocation. La première minute passe rapidement, elle regarde le mur. L’architecte, ou plutôt le décorateur, à bien choisis le papier peint. Un papier peint jaune avec des fleurs. Le jeu? Compter le nombre de fleurs. En réalité voilà déjà 4 minutes qu’elle est là. La voix de son bourreau vient de le lui rappeler.

-J’espère que tu as trouvé car en une minute…

Mais oui elle le sait. Mais non elle ne le dira pas. Lui offrir la victoire aussi facilement, jamais. Il va voir à qui il a affaire. La minute s’est écoulée, et toujours en train de compter ses fleurs, voilà qu’il s’approche d’elle. Murmurant doucement à son oreille.

-Alors, mademoiselle?.

-108...

-Pardon?

-J’ai réussi à compter 108 fleurs sans bouger la tête, répondit-elle avec toute l’innocence dont une femme est capable.

Cette fois s’en est trop. Il la prend brusquement par le poignet, s’assoit sur le bord du lit, la bascule en travers de ses genoux, prend la règle et la bloque.

-108 DIS-TU. ON VERRA SI TU PEUX COMPTER AUTANT DE COUPS.

Bon, elle l’admet, elle l’a provoqué. Mais, elle déteste compter les coups. C’est atroce, pas à haute voix. Tout sauf…

-Ouch.

Elle vient de se rendre compte qu’il est vraiment énervé. Tout de même, ce que les hommes sont susceptibles. Juste parce qu’on ne fait pas ce qu’ils veulent.

-J’ATTENDS.

-un…, murmure-t-elle avec dépit.

Au bout du vingtième elle commence à bouger. Il semble se calmer, mais pour son postérieur ça n’est pas du tout le cas. Compatissant, il l’envoie au coin. Ça lui permet, à lui aussi, de prendre une pause. De courte durée, car, en moins de temps qu’il ne faille pour qu’elle puisse compter vingt fleurs, elle se retrouve dans la position précédente. A l’exception que, cette fois, sa culotte est à coté de lui sur le lit. Culotte qui ne cache rien à l’excitation dont elle prend part durant cette situation. A bien y penser, il est loin d’être indifférent lui, non-plus. Enfin, pas le temps de penser à ça, il faut compter, encore et toujours. Cette fois, ça serra deux salves de vingt coups de suite qui lui seront administrés avant qu’elle ne retourne au coin.

Il s’approche d’elle furtivement et la fait sursauter. Preuve qu’elle n’est pas attentive du tout. Elle sent son souffle dans son cou. S’il ne la retient pas, elle va tomber. Mais avec tendresse, il la reconduit sur ses genoux.

-Cette fois, il faudra être courageuse. Je ne ferrais pas de pause, même pas pour te laisser compter. Tu l’as mérité non?

Sa voix et douce et envoûtante. Comment contredire une voix telle que celle là?! Elle admet l’avoir mérité et, c’est une salve de 50 coups « deux de plus juste pour faire un chiffre rond » qui viendra s’abattre, rapidement, durement, sur ses fesses. Elle n’a à peine eut le temps de reprendre son souffle et la voilà, une larme sur sa joue, sur ses genoux. Il lui caresse tendrement les cheveux.

Il glisse une main entre ses jambes, pour être certain qu’il ne s’agissait pas d’une torture, et sourit doucement. Elle pleure, de douleur et de joie surtout. Elle ne veut plus qu’une chose, lui. Mais la punition n’est pas vraiment finie, elle en a conscience.

-Tu retournes au coin et dans deux minutes, je veux que tu me donnes les réelles, raisons de ta punition, d’accord?

Elle ne répond pas et, en signe d’accord, elle va au coin les mains sur la tête. L’unique larme qu’elle a versée est maintenant perdue sur ses lèvres, mais elle ne l’aspire pas. Il la retourne, et, sans même qu’il ait besoin de le lui demander, elle lui dit, enfin, ce qu’il attend depuis bientôt une heure. Il a bien remarqué cette larme, et se baisse pour la récupérer à l’aide de ses lèvres. Lèvres contre lèvres, ils se dirigent tout droit vers le lit. Les habits tombent, les mains caressent, visitent le corps de l’autre. Les lèvres partent à la conquête d’un univers inconnu….

-Aie, mais vous pourriez…

-Philippe tu viens.

Regards échangés, sourire explicitent. Cette homme, croisé dans la rue, aurait-il pensé la même chose? Trop tard, il a déjà disparu dans son costume, avec ses amis…. Je te reverrais…

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse désiré, ô toi qui le savais
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Questionnement

Posté le 9 juillet 2007


Elle crie à tout va qu’elle est une peste, une chipie. Elle en est fière et le dit même lorsqu’on la traite de ces surnoms. Mais ce soir, ou elle l’a encore claironné haut et fort, elle s’interroge. Assise devant son ordinateur, ses doigts hésitent puis ils écrivent seuls, comme ils ont tant l’habitude de le faire. Elle est incertaine de ses mots, mais écoute simplement son âme. Peu importe si ça plait, peu importe si c’est barbant, c’est elle, tout simplement. Elle écrit toujours d’après son cœur, son âme sans suivre un but précis. On lui a appris que tant que c’était ce qu’elle pensait, ce qui subsistait au fond d’elle, ou dans son âme, elle ne pouvait qu’en être heureuse. Elle a écrit plusieurs choses, des poèmes au pièces de théâtres, mais ses philosophies, ses questionnements, rarement sont nées au bout de ses doigts. Elle se sont souvent perdues dans ses paroles ou dans son cerveau. Celle-ci est l’une des première. La première qui la concerne elle. Qui parle de elle et qui s’adresse, avant tout, à elle. Et ce questionnement voilà la première fois qu’elle se le pose. Est-elle fière de sa réponse? Pas vraiment, elle n'est jamais fière d'elle, mais elle l'a écrit avec son âme....



Quelle peste suis-je?


La peste que je suis c’est un subtile mélange de douceur et de provocation. C’est une détonation d’ange et de démon. La peste que je suis…

Elle est atrocement adorable, et adorablement atroce. Elle ne peut rester tranquille plus de quelques minutes. Son cerveau va rapidement, chercher la bêtise, la chose qui l’agacerait plus que les autres choses. La peste que je suis, c’est celle qui prend le journal des mains pour le taper sur sa tête. Elle lui tire la langue dès qu’elle en a l’occasion. Se moque de lui, sans jamais aller trop loin, ne voulant pas le blesser. Elle râle pour l’amour du sport pesteque. Elle saute et court partout, donne des morales infondées. La peste que je suis aime l’embêter, le reprendre sur ses phrases, lui demander si il a pas bientôt fini de gueuler. Elle aime le faire attendre sensuellement, elle aime le pousser au bout de ses limites. Elle aime le chatouiller quand il déteste ça.

Mais, elle sait aussi se montrer aussi douce et câline, adorable et féline. Elle est tendre et romantique. Elle est fleur-bleu et attachante. Elle n’est pas vaniteuse, tout au contraire, mais lui trouve toujours une beauté, à lui. Elle sait lui montrer qu’elle tient à lui. Elle sait être sérieuse et lui prouver qu’elle peut être, aussi, une petite fille sage.

La peste que je suis n’attends qu’un moment de par toutes ses provocations. Le moment fatidique où il la ferra se retourner. Le moment fatidique où elle entendra sa main se relever et s’abaisser. La peste que je suis encaisse avec plaisir et, souvent, docilement cette correction méritée. Même quand il lève ma jupe, je ne râle pas. Je l’ai mérité et il a gagné, il a mérité sa récompense. Elle aime sentir cette chaleur qui irradie le bas de son dos. Cette chaleur qui se propage au cœur de son corps entiers. Les frissons lorsqu’il lui pose des questions et qu’elle ne réponds pas, ou qu’elle réponds, intentionnellement, faux. Le sentir s’amuser et s’énerver en même temps de mon comportement. La peste que je suis ne rate pas une occasion de le provoquer même pendant ce châtiment mérité. Soit par un rire, soit par des remarques, pour le moins déplacées. Elle n’est pas insatiable, mais aime la justice, et sait pertinemment ce qu’elle a mérité. C’est pourquoi, lorsqu’il descend ma culotte, pas une râlerie ne se fait entendre. Aucune protestation ne vient franchir ma bouche, jusqu’à la prochaine remarque désobligeante. Et lorsqu’il le désire il arrête. Rares sont les fois où je l’ai fait, moi-même, stopper. J’aime sentir sa main, ou ses instruments, percuter mes fesses. Mon plaisir est d’autant plus intense que je sais l’avoir provoqué jusqu’à ce point là.

C’est jusqu’au bout que j’aime le provoquer. Même au coin je ne pense pas à la correction méritée. Je pense soit à mon désir, plaisir, soit à tout autre chose. La peste que je suis est bonne comédienne car lorsqu’il m’interroge, il obtient un regard de regret et la réponse attendue.

Après ma punition j’aime me blottir un instant, court ou long tout dépend de mon énergie, vers lui ou dans ses bras. Mais très rapidement la peste que je suis reprend ses meilleures habitudes et ce sont d’autres provocation qui franchissent mes lèvres ou qui guide mon corps. Peu m’importe ses menaces je continue sur ma lancée.

Après tout, mon caractère est forgé, je suis et je resterait une peste. Peut importe le « il » qui tentera de me calmer, c’est dans ma nature et j’en suis fière
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France, je t'aime

Je t’aime pour tes paysages, pour tes trains (rarement à l’heure mais pas chers), pour ta langue… mais je t’aime surtout pour tes enfants. J’en ai connu plusieurs et j’ai dans l’idée que j’en connaîtrai d’autres. Mais il y en a trois qui me sont et me resteront gravés en mémoire.

Le premier fut l’amour, le plaisir, la tentation, la découverte et la tristesse. On s’est rencontrés en vacances. Hasard parfait. Sourire, mimiques enjôleuses puis le coup de foudre. Je suis retournée sur ma terre d’exil et il est resté chez lui. Le téléphone allait bon train, pas un jour ne passait sans un coup de fil. Puis enfin on s’est revu.

Embrassades, câlins, promenades. On ne pouvait se passer l’un de l’autre. Lui doux, gentil, mais impatient. J’adorais le pousser à bout et entendre de sa voix: « Si tu te calmes pas je t’en donne une! ». Je me calmais toujours, non pas par peur de la recevoir, après tout je l’aurai bien méritée cette fessée, mais par peur de le décevoir. De trop l’énerver et de ne plus le revoir. Quelques claques sur les fesses me rappelaient à l’ordre au lieu d’annoncer la phrase et j’arrêtais sur le champs. J’étais éperdument amoureuse et ne voulais le perdre pour un simple désir. Le désir fut réciproque, mais il ne trouvait jamais la véritable occasion de le réaliser. Sa mère ou son frère, sa sœur ou le copain de sa mère, jamais on était seul.

Il me l’avait promis au téléphone, un jour il se débrouillerait et je recevrai cette fessée tellement méritée. Mais le destin en a voulu autrement et il a disparu. Sans doute tu sais, toi chère France, où il est allé. Moi je n’ai jamais eut ma réponse et il me manquera toujours d’une certaine manière.

Je te craignais. Je craignais de remettre les pieds sur ton sol. Jusqu’à la seconde rencontre mémorable. Je l’avais connu sur un forum ou les enfants de ta patrie étaient majoritaires. Je ne sais pourquoi mais je me suis, rapidement, sentie à l’aise avec lui. Je ne devais pas le voir avant plusieurs mois, mais il a eut raison de ma sagesse et je me suis retrouvée dans un train anxieuse. Je savais que j’allais le voir pour des provocations. Folle? Oui j’allais voir un inconnu pour qu’il me fesse. Son numéro de téléphone avait été donné à ma mère, au cas ou. Certes ce numéro ne me ferrait pas revivre si le pire arrivait, mais au moins il permettrait de confondre un certain agresseur.

Je suis arrivée à l’heure dite, s’il y avait eut un retard cela aurait été de la faute du train. Après le blabla d’usage « fait bon voyage, pas trop fatiguée » nous nous sommes dirigés chez lui. Il portait mon sac et je me souviens qu’il fut très lourd et que ça le fit, un peu, râler. Quant à moi, cela m’amusait beaucoup. Arrivé chez lui, un rapide tour du propriétaire, un repas puis nous nous sommes assis sur le canapé. Je ne pouvais me retenir de le chatouiller, mon arme fatale pour provoquer qui que ce soit de chatouilleux. Il perdit patience et je me retrouva fesses à l’air en train d’être chauffées. Première fessée à laquelle s’en rajoutera d’autres nombreuses, toujours excises. Excise comme la sensation de ma jupe qui glisse sur mes jambes, tout comme ma culotte qui se fait retirer. Le bruit des claques, ça commence à chauffer, mais je peux encore résister. La sensation qu’il comprend mes gestes quand il arrête juste avant que je n’en puisse plus.

Je me souviendrai à jamais de lui pour une simple raison. Il m’a offert plus que je n’en espérais. Cette nuit là, ou nous sommes allés dîner chez ses parents. Arrivés chez eux il n’y avait personne. J’ai eut droit à la visite de la chambre de son frère, et, en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf, je me suis retrouvée les pantalons à terre. Lui en train de m’assainir des claques. Il s’est emparé d’une petite latte en bois. Douleur et plaisir. Avant que je ne pleure, il s’est arrêté pour m’offrir un câlin, toujours dans la même tenue.

Soudain mon cœur a raté un bon. Son père l’appelait. S’il montait, moi dans cette tenue et les fesses rougies. La chance fut de mon coté car son père n’a pas monté l’escalier. J’ai eu le temps de me rhabiller, puis nous sommes redescendus. Un fou-rire était né en moi. Cela aurait été, certes, une honte que son père me découvre dans cette tenue, mais en même temps la situation aurait été tellement amusante.

Ni l’un ni l’autre ne fut rassasiés et nous décidâmes d’une ballade avant le repas. Il m’emmena dans un coin tranquille. Et, sous un prétexte fallacieux je me retrouva dans la même tenue qu’avant. Une fessée en plein air. Sa main qui me chauffait et l’air de la nuit qui me refroidissait. Expérience unique et tellement extraordinaire. De sentir la peur d’être découvert, de sentir la joie d’une fessée, de sentir tant de sentiments se mélanger en moi…. Les cris qu’il faut retenir, toujours. Pour les voisins, pour les éventuels passants. Pour ne pas mettre fin prématurément à la fessée. Puis tout s’achève. Cela se termine dans ses bras comme toujours. Le pantalon toujours baissé. Une fois calmée, nous avons repris notre marche, et je n’ai pas pu m’empêcher de sauter dans une flaque d’eau, ce qui lui a fait me promettre une autre fessée.

C’est avec lui que j’ai rencontré le troisième de tes enfants. Si je les qualifie de tes enfants ce simplement car ils vivent sur tes terres. Ils peuvent venir d’ailleurs, mais moi je les ai rencontrés ici et c’est pour ceci que je les appelle tes enfants.

Le troisième… Éclats de rires incontrôlables. Je ne me moquais pas de lui, mais c’était plus fort que moi. Je l’avais « connu » sur le même forum rosé que le second. Je l’avais tout de suite provoqué sur le chat, voyant qu’il marchait très bien. J’étais même allée jusqu’à le forcer à écrire un règlement de la fessée. Il n’aurait pas du m’en citer un article au hasard juste pour se trouver une bonne raison de pouvoir me fesser un jour.

Nous avions rendez-vous avec lui dans sa ville. Mais avant de le voir, il fallait prendre le train. Train que, bien entendu, nous avons loupé. Il est évident que la faute me fut mise dessus, par simple injustice. Enfin nous voilà enfin au rendez-vous et nous l’attendons. Je ne l’avais vu en photo qu’une fois, la veille. Mais quand je l’ai reconnu, je n’ai pu m’empêcher de sourire. Rencontrer celui que j’avais tant provoqué, enfin voir celui que j’embêtais, c’était une sorte de libération à mon imagination.

Un petit repas pour faire connaissance, et pour mettre à l’aise. Bien entendu le sujet du retard fut rapidement abordé et je lut dans ses yeux qu’il ne me croyait pas quand je lui disais que ce n’était pas de ma faute. A deux contre une le combat fut inéquitable mais je décidais de me battre en brillante chipie.

Un fois le déjeuner fini, nous nous dirigeâmes, tous les trois, vers l’hôtel déjà réservé. Mon cœur battait à tout rompre (comme il le fait maintenant rien qu’en y repensant). Je savais que ça allait arriver. Je l’avais cherchée, et je l’attendais avec impatience. Mais il y a toujours ce moment ou, tout se bouscule en vous. L’envie et la peur, l’impatience et l’inquiétude. L’impression que tout va trop vite et que tout va trop lentement. Pendant qu’il prenait le numéro de chambre et le code, je sentais le regard de la femme de ménage sur moi. Une jeune fille avec deux hommes dans une chambre, mais quel scandale. Sans doute ne pensera-t-elle jamais ce qui allait vraiment se passer dans cette chambre.

L’ascenseur, quelques pas, la porte qui s’ouvre puis qui se referme. Plus un bruit. Je suis devenue une jeune fille sage et consciente de ce qui va se passer. Il rompt le silence, enfin:

« Combien on avait dit déjà? Je répète?

-Oui.

-Un peu, beaucoup? Allez beaucoup. »

Il me prend par le poignet et me fait poser les mains sur le lit. Impossible de faire marche arrière. Ma jupe est déjà relevée et je ne bouge plus. Quelques claques sur ma culotte. J’encaisse sans un bruit, sans un geste. Puis ce dernier rempart de coton blanc descend. Il me le tend et je la prends dans ma main. Les claques continues puis, je me retrouve au coin. Il essaye de faire tenir ma jupe avec le haut de mon pull mais ceci ne marche pas. Voilà que je la tiens moi-même dans mes mains.

Il a bien choisi le coin. Il a pris celui de la fenêtre ce qui me permet d’observer aussi bien les oiseaux, que le paysage et les personnes. Douce distraction et il ou plutôt ils ne se doutent de rien. Certaines de leurs remarques me font rire. Je m’en désole mais c’est plus fort que moi. Ils ont cas être plus intelligents au lieu de sortir des inepties.

Enfin ces rires me font me retrouver en une autre position et je reçois, de nouveau une fessée. Mais ce premier rire ne sera pas le dernier. Tout comme leurs remarques et tout comme ces fessées. Enfin nous faisons une pause pour aller visiter un peu la ville. Impossible de remettre ma culotte qui restera sur le rebord de la fenêtre.

La ville est splendide et le guide extraordinaire. Le soleil est de la partie ce qui nous permet de bien prendre notre temps et de boire un verre. Je ne pourrais m’empêcher de sortir quelques provocations en plus. Il se moquera de moi car j’emprunte les passages piétons et j’attends les feux verts. J’y peux rien, moi, si je tiens à ma vie…..

Passage par sa voiture, très sale ce que je ne m’empêcherais pas de lui faire remarquer. Remarque dont il se vengera dans la chambre. Nous revoilà tous les trois dans cette chambre d’hôtel. Les deux hommes parlent de l’appareil photo alors que moi je me suis allongée sur le lit. Je regarde le ciel, puis, lorsqu’il veut prendre une photo je lui tire la langue.

Il se passe quelques secondes puis il s’approche de moi. Il entreprend d’enlever ma jupe. Je suis couchée sur le lit, sur le ventre. Une nouvelle série de claques s’abat sur mon fessier. Et me voilà de nouveau au coin. Je ne me souviens plus exactement quand j’ai avoué que je regardais les oiseaux au lieu de « réfléchir » mais cela m’a fait recevoir d’autres claques. Il a sorti deux instruments, fabrication maison. Pas trop douloureux, j’irai, presque, jusqu’à dire qu’ils sont parfaits.

Alors que je suis dans un autre coin, j’ai trouvé un autre sujet d’étude. Sur la moquette de la chambre il y a des petits segments bruns. Je m’amuse à les compter, sans que ça ils ne le sachent. Un rire de trop aura raison de mes vêtements accompagnés d’une phrase:

« On verra si elle fait toujours la maligne comme ça. »

Je ne faisais pas la maligne mais bon. Je le laisserai me mettre nue sans dire un mot. Les fessées s’ensuivront et l’une d’entre elle me ferra presque dire d’arrêter. Les bougres à deux sur moi, c’est douloureux. Mais juste avant que je ne baisse les bras je serai envoyée au coin.

Plus de fessées, laissons place au réconfort. Je lis dans ses yeux une grande douceur. J’ai même droit à un massage, exceptionnel. Le temps des consolations est tout aussi agréable que les fessées. Il me pose des questions, si je ne recommencerais plus ci ou ça. Ben bien sure que je recommencerais puisque la plupart des choses je ne peux les démentir. Il m’avouera que ça le démange et je lui dirai que je comprends. Mais il n’en fera rien. J’en ai eut assez, et en prime de beaux bleus qui resteront plusieurs jours.

Après m’être rhabillée, je me lance dans une bataille de polochon avec lui. Je suis moins forte c’est évident et il me plaque contre le lit. Je ne peux plus bouger et ceci m’agace. Il me relâchera après plusieurs minutes et je recommencerais à l’embêter un peu. Entre plusieurs phrases il me dira, en riant, que la fessée est une chose sérieuse et que l’on ne peut pas rire. Difficile de croire quelqu’un qui vous dit ceci en riant….

L’instant du départ approche. J’aurai bien aimé passer la nuit ici, d’autant plus que la chambre était réservée pour la nuit, mais je me voyais mal la passer seule dans un endroit inconnu. Il nous raccompagnera jusqu’à la gare. Là on boira encore un verre, ils avaient oublié que les jours fériés il y avait moins de train. Une fois sur le quai nous devons vite remonter dans le train.

Je repars la tête remplie de souvenirs.

Aujourd’hui, je n’espère plus qu’une chose par rapport à ces trois personnes. Les revoir. Le second je sais que je vais le revoir. Le premier, plus le temps passe, plus je doute. Quant au troisième je n’en sais rien du tout, mais j’espère aussi le revoir.

Juste avant de clore mon récit j’aimerai remercier les deux derniers cités qui se reconnairent sûrement. Les remercier pour ces instant merveilleux qu’ils m’ont fait passer aussi bien l’un qui l’autre.

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Tout retard mérite fessée


Il est déjà 18 heures 45 et elle est encore bien loin. Son téléphone vibre dans sa poche, mais elle doit dire au revoir à son élève. Voilà 3 ans qu’elle lui donne des cours et elle n’a encore pas réussit à lui dire à l’heure à laquelle elle devait partir.

Elle ferme la porte derrière elle et se retrouve dans un couloir désert. Elle commence à descendre rapidement les marches.

« Un quart d’heure de retard et il m’en faut tout autant pour aller là-bas. », marmonne-t-elle pour se faire elle même la morale. Elle empoigne son téléphone tout en continuant sa course. Elle cherche rapidement le numéro et manque de louper une marche. Reprend équilibre et son correspondant décroche à l’autre bout du fil.

S’ensuit les questions habituelles auxquelles elle répond, tout en s’excusant d’avance. En retard chez un médecin jamais elle n’aurait pensé l’être. Ce n’est pas dans son caractère et elle s’en veut terriblement. Elle continue sa folle course vers la ville, réfléchissant au chemin le plus rapide pour rejoindre son médecin.

Comme calculé c’est un quart d’heure plus tard qu’elle sonne et pousse la porte du cabinet médical. Elle est stressée et surtout navrée. Lui il sourit, il sourit toujours, ne peut-elle s’empêcher de se dire, puis il lui conjoint d’aller dans la salle de discussion, le médecin en question étant un psychiatre.

Elle y va et s’assied toujours sur le même fauteuil. Lui prend place, toujours au même endroit, en face d’elle. Elle a beau s’excuser il lui coupe toujours la parole. Ce qu’elle entend la désole encore plus. Il prend cette séance en dehors de ses heures de travail.

Elle ignore encore, aujourd’hui, pourquoi elle l’a interrompu pour dire ça, mais la phrase est lancée:

-Donnez moi une fessée si cela peut vous calmer mais calmez-vous, je vous ai déjà dit que j’étais désolée.

Plusieurs mois de travail avec sa patiente empêche le psychiatre de savoir si elle plaisante. Mais c’est en l’observant, en observant cette gêne de petite fille qu’elle vient de prendre, qu’il se rend compte qu’elle était sérieuse…. A bien y réfléchir, c’est certain que ça le calmerait, après une journée à avoir écouté les problèmes de ses patients sans que personne ne lui demande vraiment les siens, à n’avoir pas osé dire la totale vérité, un psychiatre ne peut vous envoyer sur les roses, voilà que cette jeune patiente lui offre l’occasion rêvée de se détendre, de se calmer.

Quelques secondes de silence ont suffit à la jeune demoiselle pour sursauté lorsqu’elle entend la voix de son docteur lui répondre.

-Quelle bonne idée.

Il se lève alors et s’assoit sur le troisième fauteuil de la pièce. Puis, il lui ordonne de venir à sa droite. Elle se lève lentement les joues empourprées regrettant encore d’avoir dit ça, puis elle avance. Sa lenteur l’irrite et, dès qu’il le peut, il lui attrape le poignet et la tire en travers de ses genoux.

Elle respire lentement lorsque la première claque vient s’abattre sur son séant. D’autres s’ensuivent, rapide, fortes. Comment peut-il encore avoir autant de force après une journée entière de travail? Elle n’a le temps de chercher la réponse car ses fesses l’appellent à l’aide. La douleur grandit avec les claques et malgré ses supplication, son fesseur de quelques secondes ne semble pas l’écouter.

Malheureuse, elle met une main dans l’espoir de se protéger.

-Au chat et à la souris, mon jeu préféré., fit-il d’un aire goguenard, puis il reprend d’un ton sec qui la fait sursauter: DEBOUT!

L’ordre ne laisse de place à la discussion et elle s’exécute. Elle se lève, quelques secondes seulement. Car il vient de la recoucher en travers de ses genoux après avoir pris soin d’ôter son pantalon et sa culotte.

C’est une main sèche que s’abat, à présent sur des fesses endolories. Elle gigote mais n’ose remettre une main de peur de subir un châtiment plus atroce comme précédemment.

Cent un, cent deux, cent trois, … elle perd le fil sous une claque plus forte que les autres. La respiration coupée elle ne bouge même plus. Mais bien vite les gigotements referont surface, bien qu’elle ne comptera plus intérieurement, son esprit trop occupé à tenter de trouver un moyen de faire cesser tout ceci.

Les claques résonnent et ses fesses n’en peuvent plus. Mais aucune larme n’est versée, elle ne peut, peut-être par fierté, pleurer l’ors d’une fessée. Il s’arrête, regarde sa montre.

-Encore 5 minutes de séance, profitez-en pour aller au coin, les mains derrière la tête!

Elle s’exécute n’osant toucher le point d'impact. La fessée n’a duré que dix minutes mais ça lui a semblé une éternité.

La première minute de pénitence au coin lui suffira à apprécier cette fessée et sentir une chaleur plus grande que celle qui peut se dégager de son arrière train, lui envahir les reins et le corps. Elle gigote, dans l’espoir de la faire partir, mais elle est rapidement appelée à l’ordre, interdiction de bouger, peut-être qu’elle sera là à l’heure la prochaine fois.

C’est à ce moment que, pour elle, la vraie punition commence. Une envie atroce, insoutenable, mais impossible, interdiction de l’assouvir.

Cinq minutes plus tard elle quittera le cabinet et se réfugiera dans les toilettes les plus proches…



-Vous avez ouvert la bouche, vous vouliez dire quelque chose?

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Rêve ou réalité ? Ou Scène 1 première, on tourne

Noël étant passé j’ignorais, encore, si je voulais, ou non, faire ce cadeau… Rolling Eyes. Mais bon je ne vais pas laisser ce récit dans mon ordinateur tout de même…. Malheureusement je n’ai ni l'habilité, ni la classe qu’on certaine personne pour raconter leur histoire. Mais c’est toujours mieux que rien.

En m’habillant ce matin là je me demandais si j’étais vraiment dans la réalité ou si je ne m’étais pas levée et je dormais encore?! Tout semblait me sourire. Enfin, cela faisait plus d’un an que je l’attendais, enfin ça allait devenir réalité. Il me l’avait promise plus d’une fois, mais j’étais trop jeune, pas encore majeur. Pis après mon anniversaire, il n’avait pas eut le temps et on avait un peu passé le sujet sous tabou pendant quelques mois. Mais là c’était tombé, un rendez-vous, une date, unique.

J’enfilais ma jupe, non pas celle qu’il avait choisie, étant tombée du train la veille je portais une bande au genou et, bien que pas superficielle, je trouvais moche de montrer cela, mais une plus longue. Mon pull vint rapidement couvrir mes épaules nues. Était-ce vrai ou je rêvais encore?

Je suis rapidement passée lui dire bonjour sur msn (ça faisait longtemps que l’on s’était connu par ce moyen) ou il ne manqua pas de me demander si j’étais sûre de mon choix. Non je n’étais pas sûre mais certaine. Toute mon âme n’attendait que ça, et bien que nerveuse à cette idée, tout mon être le voulait aussi. C’est rare lorsque mon corps et mon cœur sont d’accord sur un point, mais là ils l’étaient tous les deux.

Pis je fis rapidement mon sac, juste après avoir reçu ma punition je devais aller en cours. C’est ma mère qui m’amena à Yverdon ce jour là ne se doutant pas du pourquoi je devais partir aussi tôt. Elle savait que j’avais rendez-vous avec un ami, car il avant tout un ami pour moi, mais elle ne savait pas pourquoi.

Je dus passer à l’ORP et je dois avouer que je fus déçue de leurs prestations. Pas de rendez-vous avant la fin du mois, mieux valait continuer à me débrouiller seule. Ma mère ne manqua pas de m’appeler.(ayant un passé pour le moins.. difficile elle s’inquiète trop pour moi). Elle me questionna sur mon futur rendez-vous avec cet homme. Elle ignorait tout de lui, comme elle ignore tout de la plupart de mes amis. Mais, au cours de la conversation elle me dit une phrase me fit rire, intérieurement.

« C’est pas un satyre au moins? » J’affirmais que non bien que je ne le connaissais que d’Internet et par conséquent mon affirmation pouvait se révéler fausse. Mais malgré tout j’avais pleinement confiance en lui tant et si bien qu’avant de partir je n’ai même pas laisser de petit mot au cas ou (chose que je fais toujours lorsque je vais voir quelqu’un pour la première fois. Juste un petit mot que je met dans un tiroir mais qui permet à ma famille de confondre un pseudo agresseur au cas ou je ne reviendrais jamais).

Voilà que je me monte dans le train. En même temps excitée et incertaine. Mais la fatigue me prend rapidement et je m’endors sans autre forme de procès. Le train s’arrête, déjà et j’en sors. Tout le monde court dans tous les sens et moi je marche tranquillement. Certains regardent se croisent, et je ne peux me dire que tous les gens qui sont là, ont devinés. Qu’ils savent se qu’il va se passer. Perdue dans mes pensées, j’en oublie presque de marcher, mais mon téléphone sonne un bref message pour me dire qu’il est à la gare. Mon estomac se contracte faire demi-tour ou pas? C’est le dernier moment. Je prend mon courage à deux mains, et après tout, je l’ai méritée.

Je le reconnais, il me reconnaît. Il arrête sa voiture quelques secondes devant moi et je monte dans la voiture d’un inconnu (hey oui car je ne connais de lui que ce qu’il veut bien me dire…). Je suis très stressée, très intimidée. Et si on me reconnaissait là dans sa voiture. Je souris à l’idée de penser que mon ex pourrait passer et se poser des questions.

Durant le court trajet il est doux et me met en confiance. On parle de tout de rien. Il me dit que je vais bien trouver un travail, je le sais mais je commence à en douter. Il s’arrête enfin. On descend de la voiture et je le suis docilement. Il me dit que je suis très timide et je lui dit que je l’avais avertit, je ne parle pas beaucoup même avec les gens que j’aime.

On va dans la pièce où je dois recevoir ma punition. C’est aussi un endroit où on soumet des personne et je dois avouer que en entrant pour la première fois dans un lieu pareil ça peut faire peur. On parle encore un moment puis la question tombe.

« Tu te souviens pourquoi tu es là? » Il ne me laisse pas trop le temps de répondre et il dit la réponse lui-même. « Pour une fessée hein?! » Je crois avoir murmurer un vague oui. Il me prend par le poignet puis il me dit de poser les mains à plat sur un espèce de banc. Il me demande pourquoi je mérite une fessée…

« Pour avoir pas assez travaillé au gymnase (lycée je crois en France) et m’être par conséquent faite renvoyée. »

Aussitôt répondu je le sens remonter ma jupe, non sans une remarque à propos de mon genou. Oui, oui je lui avais pas mentit. Et là la première claque tombe. Rien n’est là pour me protéger un peu les fesses puisqu’il m’avait demander de mettre un string. Je ne geindrais pas je l’ai méritée. Rapidement il me baisse puis m’enlève mon string et recommence à me claquer les fesses. Sa main est lourde et mon plaisir accroissant.

Ça chauffe un peu mais toujours aucun son de ma part. Il s’arrête, m’ordonne d’enlever ma jupe. Un peu embarrassée je m’exécute. Mais le rouge sur mes joues peut être confondable avec le rouge de chaleur de tous mon corps et plus précisément mes fesses.

Il me fait venir vers un lit à bonne hauteur pour pouvoir se courber dessus. Le haut de mon corps est donc sur le matelas et mes mains, ayant deviner le reste de la punition ont attrapé le bord du matelas. Je lui avais demander de pouvoir y goûter mon souhait est exaucé.

Le martinet vient de s’abattre sur mes fesses. Chaque coups me fait tressaillir mais à nouveau je ne dis rien. Mes yeux se ferment et les larmes commencent à venir. Comme si il avait compris il s’arrête. Me dit de m’allonger totalement sur le lit. Je le fais. Il me donne encore quelques claques et nous passons à des jeux un peu plus intimes (dont je vous épargnerais les explications).

On fait une pause et l’on va s’asseoir au même endroit où j’ai reçu ma première fessée. On parle à nouveau de tout de rien. Il sourit car mes fesses sont redevenues blanches. Il me dit de les regarder dans le miroir et je refuse (j’ignore encore pourquoi j’ai refusé). Il me dit qu’il va me les montrer alors et lorsqu’il essaie de prendre ma main je la lui donne pas et lui dit de me laisser tranquille.

Il n’a pas dut beaucoup apprécier cet élan de rébellion car je me retrouve de nouveau le haut du corps sur le lit. Le martinet est donné plus durement cette fois, à croire que c’est plus grave de ne pas regarder ses fesses dans un miroir que de ne pas étudier Rolling Eyes. A nouveau chaque coup me fait tressauter et lorsque je veux me relever, réaction normale, pour mettre fin à cette punition il pose son bras gauche sur moi. Signe révélateur que je dois rester ainsi. Aucun son ne sort de ma bouche, mais à tout moment je n’ai qu’un mot à dire pour que ça soit finit.

Il laisse le martinet de coté et c’est à nouveau sa main qui s’abat sur mes fesses. Je sers les dents, je sers les poings sur le matelas. D’une main habile il vérifie, à plusieurs reprises, que j’apprécie ce qui m’arrive et j’apprécie vraiment.

A nouveau me voici couchée sur le matelas. Et sa main me fesse à nouveau. Je n’ai dit un seul mot par rapport à la punition. Nous repassons un moment à d’autres plaisirs, libérateurs de l’excitation qui me tenait, avant de l’entendre me dire de descendre et d’aller me rhabiller.

Finit? Non déjà? Pourtant je remet mon string et ma jupe. Je n’ai put m’empêcher un regard vers mes fesses dans le miroir à bonne hauteur. Ça me donne envie de rire, mais je retiens se rire qui se loge bien au chaud dans ma gorge. Il insiste pour que je prenne à boire mais je n’ai pas soif et j’insiste pour refuser. Il laisse tomber et nous voici à nouveau dans sa voiture. Là je met sur le tapis le sujet de la politique et je souris de certaines de ses réflexions.

Gentiment il m’emmène jusqu’au lieu de mes cours puis repart. Alors que je m’assied pour le premier cours je fais une semi-grimace qui passe inaperçue. Je passe le reste des cours ailleurs en train de repenser à ça.

Le lendemain à mon réveil je sent que j’ai encore un peu mal. Oui je crois que j’ai un bleu maintenant, mais je l’avais mérité. Durant notre conversation msn de la journée je lui avoue que j’aurai aimé être plus durement fessée. Il me dit que pour une première fois il voulait pas être trop sévère. Je le remercie de ce qu’il a fait.

Aujourd’hui je me promet de faire d’autre bêtises pour pouvoir revivre ça. Le vol étant la chose qu’il tolère le moins pourquoi ne pas tenter le diable.

Mais il subsiste une question en moi, était-ce un rêve ou la réalité